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Besonders Ann. de chim. et de phys. (5) 12. p. 302. 1877;
Besonders Ann. de chim. et de phys. (6) 4. p. 13. 1885.
Compt. rend. 94. p. 101. 149. 822. 1882;
Compt. rend. 95. p. 151 u. 199. 1882;
Compt. rend. 95. p. 599 u. 1352. 1882;
Compt. rend. 96. p. 1014 u. 1076. 1883.
Compt. rend. 96. p. 672. 1186. 1883;
Compt. rend. 98. p. 5. 545. 601. 646. 770. 852. 1884;
Compt. rend. 99. p. 1097. 1884.
Ferner aber und sehr ausführlich, mit Copieen photographischer Abbildungen in Ann. de mines. (8) 4. p. 272. 1883 mit Taf. VIII bis XVIII.
p587_1) Bunsen, Pogg. Ann. 131. p. 161. 1867.
p588_1) Bunsen, l. c. p. 176.
p588_2) Berthelot u. Vieille, Compt. rend. 93. p. 18 u. 613. 1881;
p589_1) Doch sagt Berthelot wörtlich: „Les experiences de M. Bunsen ne procurent donc aucune donnee certaine, ni même probable, relativement au degre, à la nature, ou même à l'existence de la dissociation; car il n'est point permis, dans l'etat present de science, d'en tirer des conclusions determinees.“ Ann. de chim. et de phys. (5) 12. p. 308. 1877.
p591_2) Mallard u. Le Chatelier, Compt. rend. 93. p. 145 u. 962. 1881;
p591_3) Mallard u. Le Chatelier, Ann. de mines. (8) 4. Taf. XVIII.
p592_1) Vgl. Centralztg. für Optik u. Mechanik. 1887. 8. Nr. 20 u. 23, wo die ganze Methode von einem von uns ausführlch dargestellt ist, und die Vortheile derselben erlätert worden sind. Damit das Bild G von C auf G falle, muss r = f gewählt werden, und damit y genau proportional werde, muss ausserdem k = 2 r sein (s. ob. Gleichung (4)).
p595_2) Ein ähnliches Verfahren schlugen Dewar und Liveing ein. S. Beibl. 8. p. 644. 1884.
p601_1) Mallard u. Le Chatelier, Ann. d. mines (8) 4. Taf. Xa.
p601_2) Um den Gegensatz schärfer zu präcisiren, geben wir eine Stelle (p. 332) wörtlich wieder: „Dans les tubes de 0,03 m de diamêtre, cette amplitude maxima a varie de 0,50 m à 1,10 m (Planche 10. Fig. 1, 2, 3) c'est à dire, qu'elle a pu atteindre dans certains cas plus du tiers de la longueur totale du tube. Nous ferons remarquer en passant que les oscillations de la flamme etant precisement celles des tranches gazeuses en combustion (?), nos experiences donnetn pour la premiere fois une idee precise de l'amplitude des mouvements vibratorires d'une masse gazeuse qui emet un son.“
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